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Résumé : Ce guide fut écrit avec l'intention de proposer à un large public un panorama neuf de la civilisation iranienne, dans ses aspects autant historiques que religieux, artistiques que culturels, en incluant également un répertoire détaillé des principaux sites à voir dans le pays. À la croisée de l’Orient et de l’Occident, l’Iran (la Perse) est l’une des plus anciennes civilisations de l’humanité. À l’est du Croissant Fertile, elle fut l’une des premières zones d’installations sédentaires du néolithique et le centre du premier empire universel, fondé par les Perses achéménides au Vie siècle avant notre ère. À l’époque musulmane, elle s’imposa comme la culture majeure de l’Orient, influente jusqu’en Asie centrale et en Inde du Nord. Aujourd’hui puissance régionale, l’Iran contemporain est une mosaïque complexe d’ethnies, d’histoires et d’identités. Terre de religions multiples (religion élamite, Zoroastrisme, Judaïsme, Christianisme arménien et nestorien, Mithriacisme, Manichéisme, Islam), l’Iran est aussi une partie de la mystique, de la philosophie et du chiisme.

Résumé : Au tournant du XIVe siècle, la ville de Toulouse entame une brillante page de son histoire, dans un contexte de relative stabilité politique. Située aux carrefours de l'Espagne et de l'Italie, terre d'échanges et de circulation des personnes et des biens, son dynamisme démographique et économique est important. La population, des classes les plus simples aux élites, au premier rang desquelles les capitouls, a laissé d'abondants témoignages de la vie quotidienne dans la cité, mise en lumière par de récentes découvertes archéologiques.Toulouse est également un centre intellectuel en plein essor, grâce à la présence de nombreux collèges et d'une université rayonnante reconnue pour son enseignement du droit. Sa proximité avec Avignon, capitale de la chrétienté de 1309 à 1378, et plus particulièrement avec le pape Jean XXII, contribue également à faire de Toulouse une métropole ecclésiastique. De grands prélats deviennent les mécènes d'artistes de talent, et les ordres mendiants, très influents, donnent à la cité occitane des réalisations architecturales éclatantes et des cycles sculptés originaux qui impriment profondément leur marque dans l'espace urbain.Au XIVe siècle, Toulouse est ainsi une des villes qui comptent le plus dans le royaume de France, mis fortement à l'épreuve par la peste noire et la guerre de Cent Ans. Cet ouvrage permet de dresser un état des lieux inédit sur la vie et la création à Toulouse à cette époque, illustrant, à travers une iconographie foisonnante, l'inventivité florissante qui s'y déployait. À la croisée de la culture méridionale et de multiples apports extérieurs, peintres, sculpteurs, orfèvres et enlumineurs s'y adonnent à des créations exceptionnelles qui rayonnent rapidement sur de vastes territoires, faisant de la Ville rose l'un des grands foyers artistiques de cette période. (4e de couv.)

Résumé : Monographie la plus récente et la plus complète consacré à cet artiste belge d’origine espagnole héritier d’Ensor, de Broodthaers et de Beuys, connu pour ses performances et installations qui débordent et contestent l’esthétique dite relationnelle à laquelle on pourrait être tenté de les assimiler. Nous, les œuvres d’art…, avant d’être le titre emblématique de cette monographie presque exhaustive consacrée à plus d’un quart de siècle de création et d’actions artistiques d’Angel Vergara, né en 1958, incarne l’esprit de son œuvre dont l’ambition semble conjuguer le paradigme duchampien selon lequel tout peut accéder au statut d’œuvre d’art et l’injonction de Joseph Beuys qui invite chacun à devenir artiste, soit cette proposition paradoxale : tout le monde peut être une œuvre d’art. C’est que l’artiste entend repousser jusque dans ses derniers retranchements la distinction factice et idéologique propre au marché de l’art entre la scène et le public, entre l’art et la vie, en proposant notamment des cafés implantés dans des lieux à vocation culturelle qui ne soient pas de simples simulacres de commerces mais de véritables lieux de convivialité et de spiritualité où s’opèrent simultanément différentes formes d’échanges. C’est en effet ce principe que l’on retrouve à l’œuvre dans ses différents actions et interventions artistiques dans l’espace public, parfois à l’échelle de toute une agglomération comme à Revin (France), et plus généralement dans ses « actes et discours » sous la forme d’alter ego tels que Straatman, le Vlaamse Black, voire le roi des Belges ou celui de l’art, feu Jan Hoet. Que l’on ne se méprenne pas, il ne s’agit pas pour Angel Vergara de figurer des personnages, aussi archétypaux soient-ils, et encore moins de célébrer les œuvres d’art cristallisées et réifiées dans leur aura et leur lustre institutionnel — Angel Vergara n’est pas pour rien l’héritier du pyromane Marcel Broodthaers même lorsqu’il entre dans Bruxelles juché sur un camion de pompiers – mais d’activer des dispositifs qui entendent inscrire une éthique de l’échange au cœur même de l’esthétique comme moyen et jamais comme fin.©editeur

Résumé : A l'occasion du dixième anniversaire de la mort de l'artiste néerlandais Corneille (1922-2010), l'ouvrage présente l'ensemble de son oeuvre depuis ses années de formation et l'aventure Cobra jusqu'au renouveau de la figuration qui caractérise sa production à partir des années 1970. ©Electre 2019 Corneille a consacré sa vie à la peinture. En cinquante ans de carrière, il a laissé une œuvre prolixe, débordante et polymorphe. Ce livre porte un nouveau regard sur l'ensemble de son œuvre depuis l'avant-garde des années Cobra jusqu'au renouveau de la figuration qui caractérise sa peinture à partir des années soixante. Publié à l'occasion du dixième anniversaire de la disparition de Corneille (1922-2010), le livre présente une nouvelle sélection d'œuvres accompagnée d'une riche documentation historique. Il retrace le parcours de Corneille, peintre voyageur, au cœur de la seconde moitié du XXe siècle. Il revient de manière approfondie sur ses voyages, ses collections d'art africain, ses amitiés, ses collaborations artistiques, ses expositions ainsi que sur sa pratique de la photographie et sur ses nombreux textes littéraires et poétiques. Cette publication accompagne la rétrospective "Corneille, un Cobra dans le sillage de Gauguin" organisée par Arteos en collaboration avec le musée de Pont-Aven où elle est présentée du 1er février au 24 mai 2020.

Résumé : L’association Daniel Marco a décidé de publier un recueil des écrits que cet architecte et urbaniste a laissé sur les nombreux thèmes qui l’ont passionné. Ont été retenus les plus significatifs d’une pensée originale, dont plus de quarante ans de brouillons, notes, articles et textes jalonnent l’évolution. À chaque jour sa page de rédaction et son dessin. Daniel Marco possédait la capacité de relier des terrains de lutte différents et de révéler les connexions de leurs problématiques historiques et sociales, afin de replacer en meilleure perspective possible toutes ses recherches relevant de champs de connaissance distincts - scientifiques, culturels ou artistiques. Récusant l’illusion des postures, sa démarche visait à dépasser la transdisciplinarité académique classique, afin de donner toute sa force à l’action critique, en même temps que transparence et lumière aux arguments qui la légitiment. Il savait éclairer tous les reliefs des contradictions des protagonistes et de leurs présupposés, afin de mieux les résoudre ; y compris les siennes ou les nôtres. Daniel Marco a toujours privilégié une approche globale de la réalité concrète. Ses textes et écrits exposent plusieurs thèmes et champs de recherche : le territoire, le logement, la construction et la rénovation, l’enseignement, les syndicats et les arts et la culture. Daniel Marco (1938-2009) fut l’une des personnalités marquantes de la Genève contestataire des années 70. Il n’était jamais vraiment rentré dans le rang et a continué pendant toute sa vie à s’engager pour une société qu’il voulait plus juste.

Résumé : Architectures, machineries, musiques, odes, lumières, voix et corps en mouvement : pour Léonard de Vinci, la scène aura été le premier lieu de ses inventions et de leur incarnation. Plus encore que pour ses oeuvres picturales, le Quattrocento l'aura célébré pour ses spectacles lyriques sans précédent. Plus d'un siècle avant Peri, Caccini et Monteverdi, ils auront marqué l'avènement des premiers opéras. Ce sont cette invention et cette révolution que révèle ici Olivier Lexa. Quatre années de recherche lui ont été nécessaires pour réunir livrets, notes et croquis, indications de mises en scène de Léonard de Vinci ainsi que les témoignages de ses contemporains. Ces documents inédits, racontés et commentés avec intelligence et sensibilité, nous confrontent à une évidence : l'opéra permet à l'artiste de réaliser ce que la peinture et le dessin lui interdisent. En un temps de renouveau de la théâtralité et du champ des passions, son génie est de rassembler en une totalité visuelle les diverses innovations artistiques et philosophiques de la Renaissance. Alliance remarquable entre découverte scientifique et divulgation culturelle, cet essai inaugural dévoile un pan méconnu mais essentiel de la vie et de la vision du plus universel des esprits humains. À ce point extrême où, avec lui, tout se fait dramaturgie. Metteur en scène et historien de l'opéra, Olivier Lexa travaille pour les plus grands théâtres. Il a dirigé le Palazzetto Bru Zane et le Venetian Centre for Baroque Music. Il est notamment le biographe du compositeur Francesco Cavalli.

Résumé : When the Pre-Raphaelite Brotherhood (the 'PRB') exhibited their first works in 1849 it heralded a revolution in British art. Styling themselves the "Young Painters of England", this group of young men aimed to overturn stale Victorian artistic conventions and challenge the previous generation with their startling colours and compositions. Think of the images created by William Holman Hunt, John Everett Millais, Dante Gabriel Rossetti and others in their circle, however, and it is not men but pale-faced young women with lustrous, tumbling locks that spring to mind, gazing soulfully from the picture frame or in dramatic scenes painted in glowing colours. Who were these women ? What is known of their lives and their roles in a movement that, in successive phases, spanned over half a century ? Some were models, plucked from obscurity to pose for figures in Pre-Raphaelite paintings, whileothers were sisters, wives, daughters and friends of the artists. Several were artists themselves, with aspirations to match those of the men, sharing the same artistic and social networks yet condemned by their gender to occupy a separate sphere. Others inhabited and sustained a male-dominated art world as partners in production, maintaining households and studios and socialising with patrons. Some were skilled in the arts of interior decoration, dressmaking, embroidery, jewellery-making -the fine crafts that formed a supportive tier for the "higher" arts of painting and sculpture. And although their backgrounds and life-experiences certainly varied widely, all were engaged in creating Pre-Raphaelite art.. Lorsque la Confrérie préraphaélite (la «PRB») expose ses premières œuvres en 1849, elle annonce une révolution dans l'art britannique. Se présentant comme les "jeunes peintres d'Angleterre", ce groupe de jeunes hommes avait pour objectif de renverser les anciennes conventions artistiques victoriennes et de défier la génération précédente avec leurs couleurs et leurs compositions surprenantes. Pensez aux images créées par William Holman Hunt, John Everett Millais, Dante Gabriel Rossetti et d’autres dans leur entourage. Ce ne sont pas des hommes mais des jeunes femmes au visage pâle, aux boucles lustrées et tumultueuses, qui viennent à l’esprit, regardant avec émotion sur des photographies ou dans des scènes dramatiques peintes dans des couleurs éclatantes. Qui étaient ces femmes ? Que sait-on de leurs vies et de leurs rôles dans un mouvement qui, par phases successives, a duré plus d’un demi-siècle ? Certaines étaient des modèles, arrachés à l'obscurité pour poser comme personnages dans les peintures préraphaélites, tandis que d'autres étaient des soeurs, des épouses, des filles et des amis des artistes. Plusieurs étaient elles-mêmes des artistes, aspirant à l'égalité avec les hommes, partageant les mêmes réseaux artistiques et sociaux mais pourtant condamnés par leur sexe à occuper une sphère à part. D'autres ont cohabité et soutenu le monde de l'art dominé par les hommes en tant que partenaires dans la production, l'entretien des foyers et des ateliers et la relation avec les mécènes. Certaines étaient expertes dans la décoration d'intérieur, dans la couture, dans la broderie, dans la bijouterie - les métiers d'art qui constituaient un niveau de soutien pour les arts "supérieurs" de la peinture et de la sculpture. Et bien que leurs origines et leurs expériences de vie aient certes beaucoup varié, toutes étaient engagées dans la création d’art préraphaélite.

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