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Résumé : "Fase est l'adaptation cinématographique du spectacle Fase, four movements to the music of Steve Reich de Anne Teresa De Keersmaeker (création 1982). Les quatre parties du spectacle ont été tournées dans quatre sites différents : Piano Phase à la Rosas Performance Space de Forest ; Come Out dans le nouveau bâtiment Coca Cola à Anderlecht ; Violin Phase dans la forêt de Tervuren ; Clapping Music dans la Felix Pakhuis à Anvers." (Numéridanse.tv). Avec : Anne Térésa De Keersmaeker et Michèle Anne De Mey

Résumé : Déplacement, respiration, nutrition et reproduction de la pieuvre."Les Amours de la pieuvre nécessiteront plus de dix ans de tournage, dix étés durant. Des orages en série adoucissant l'eau de mer éloignaient les pieuvres des rivages, un coup de froid stérilisait les oeufs, le laboratoire flambait... Scènes de séduction : une pieuvre mûre vampe un jeune timide, qui finit avec précaution par glisser son tentacule copulatoire dans l'orifice latéral de sa comparse. Scènes spectaculaires : la femelle dans son nid, avec les cordons d'oeufs accrochés aux parois qu'elle remue, brasse de ses tentacules. Quelques minutes sur le développement de l'oeuf de pieuvre nécessitèrent des heures et des heures de tournage. Il s'agissait de départager deux écoles de zoologues. L'une disait que les oeufs de pieuvre tournaient sur eux-mêmes dans un mouvement elliptique. L'autre que les oeufs tournaient, mais en se contractant dans un mouvement d'accordéon. Le film établissait que les deux hypothèses étaient bonnes successivement. La musique électro-acoustique de Pierre Henry suit les développements du film séquence par séquence, comme un piano de cinéma muet." (Hélène Haréza, Positif, 1990).

Résumé : En pénétrant dans les archives où il avait compilé les récits de ses rêves et en les rattachant aux images et aux objets qui restent de lui après sa mort, ce film nous mène à la rencontre de Michel Jouvet, découvreur du sommeil paradoxal et chercheur passionné par l’étude des rêves, et compose un portrait de son monde intérieur, des enjeux de sa recherche scientifiques et des drames qui ont marqués sa vie. Une approche cinématographique de cette matière insaisissable et foisonnante qui était selon Jouvet le siège de notre identité profonde : les rêves.

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