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Résumé : The Passing, c'est à la fois le passage et la mort. Bill Viola, dans cette vidéo, offre une réflexion sur la vie, la mort qui se rejoignent, sur le rapport de l'être humain avec le cosmos et les éléments naturels, sur le sens de l'existence. Sur un fond d'écran noir, on entend le souffle d'une respiration puis le bruit du vent. Peu à peu, des images surgissent de l'obscurité : le visage d'une femme alitée et souffrante, celui d'un nouveau-né dans ses langes. Des visions nocturnes de déserts, de montagnes, de routes, de paysages urbains se succèdent. Des lueurs mobiles percent l'écran noir qui revient en leitmotiv. Dans des scènes sous-marines, le corps humain, à sa naissance et dans la mort flotte dans l'apesanteur de l'eau. Bill Viola réalise un poème en noir et blanc, s'inspirant d'évènements personnels tels que la mort d'une mère et la naissance d'un fils.

Résumé : Générique / . Gnossienne n°1 / Erik Satie, compositeur. Le Piège de Méduse : extraits / Erik Satie, compositeur. Pièces froides : danse de travers n°1 / Erik Satie, compositeur. Fantaisie-valse / Erik Satie, compositeur. Descriptions automatiques : Sur une lanterne / Erik Satie, compositeur. Descriptions automatiques : Sur un casque / Erik Satie, compositeur. Gnossienne n°2 / Erik Satie, compositeur. Le Fils des Etoiles / Erik Satie, compositeur. Sports et divertissements : 1, 2, 5 / Erik Satie, compositeur. Premier Menuet / Erik Satie, compositeur. Pièces froides : danse de travers n°2 / Erik Satie, compositeur. Harmonies n° 2 extrait / Erik Satie, compositeur. Gnossienne n°4 / Erik Satie, compositeur. Ogives n°4 / Erik Satie, compositeur. Gymnopédie n°3 / Erik Satie, compositeur. Chanson hongroise / Erik Satie, compositeur. Enfantillages pittoresques / Erik Satie, compositeur. Sonatine bureaucratique / Erik Satie, compositeur. Gnossienne n°5 / Erik Satie, compositeur. Leitmotiv du Panthée / Erik Satie, compositeur. Quatuor n°2 / Erik Satie, compositeur. Avant-dernières pensées : n°2, Aubade / Erik Satie, compositeur. Gnossienne n°3 / Erik Satie, compositeur. Gymnopédie n°1 / Erik Satie, compositeur

Contenu : Abysse. Surface. Mi en cycle. Saqui. Battement. Comme l'eau. Interzone rythme. Septième corde. Shataraban

Résumé : Après "300 jours de colère" (2002), "les prolos" (2003), "Femmes précaires" (2005) consacrés à la classe ouvrière, Marcel Trillat a voulu avoir le point de vue des patrons sur leur profession actuelle, au regard des délocalisations d'usines, liées à la mutation du capitalisme familial et industriel en un capitalisme financier et mondialisé. Sur les conseils des sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, en octobre 2006, il s'est rendu à Nouzonville, dans les Ardennes, où l'entreprise familiale Thomé-Génot, qui, il y a encore peu, était le premier employeur de la vallée, se vit contrainte de déposer son bilan. Reprise par un fonds d'investissement américain, celui-ci n'eut qu'un comportement de prédateur en pillant littéralement l'entreprise, qui fut mise en liquidation judiciaire. En interrogeant la famille Dury, anciens propriétaires de l'entreprise depuis 1919, autoritaires, paternalistes, mais attachés à leurs usines et à leur personnel, mais aussi les ingénieurs, les cadres et les ouvriers, Marcel Trillat lève le voile sur les mécanismes de ce gâchis évitable, si la course au profit n'avait pas été l'unique leitmotiv des nouveaux investisseurs en entreprise.

Résumé : Un portrait de l’auteur de bandes dessinées et caricaturiste, René Pétillon. Filmé dans sa maison, en Bretagne, celui-ci parle à bâtons rompus et avec un humour souriant de son itinéraire. Parfois, le réalisateur ou le caméraman interviennent par la parole ou le geste, soulignant ainsi le film en train de se faire. Ils « recadrent » leur interlocuteur devant la caméra. René Pétillon évoque son enfance dans une famille ultra catholique en montrant de vieilles photographies sépia, son amour des chats toujours présents et sa passion pour le dessin. Il a toujours dessiné car pour lui « la vocation de dessinateur naît d’une envie de fuir une réalité qui nous pèse… ». Bref, dessiner, c’est créer un imaginaire afin de s’y réfugier. René Pétillon entre d’abord au journal « Pilote » ; en 1974, il invente le fameux inspecteur Jack Palmer, son personnage fétiche. Peu à peu, il aborde le dessin de presse, par hasard, et sans perdre son style personnel, il devient caricaturiste au « Canard enchaîné » : l’ironie satirique lui convient. Comment travaille-t-il ? : il commence par chercher un sujet puis se documente en lisant de nombreux ouvrages sur celui-ci et il esquisse un dessin au crayon. Le dessinateur décline aussi ses préférences sur la bande dessinée : ainsi semble-t-il apprécier beaucoup Harvey Kurtzman mais non « Tintin ». L’Ouest, c’est le Finistère, la terre âpre, l’atmosphère particulière de la Bretagne. René Pétillon en aime les paysages : les rochers étranges sculptés par l’océan, les ciels nuageux et immenses, les rivages embrumés alternent dans ce film avec des images de jardin-jungle traversé par d’amusantes girafes et peuplé d’oiseaux exotiques. Quelques extraits de ses albums sont présentés. L’Ouest, c’est aussi l’influence américaine suggérée par la chanson « Rhum and coca-cola » des Andrew Sisters qui revient en leitmotiv. D'ailleurs, la bande-son travaillée complète avec bonheur l’image. Un documentaire permettant d’aborder l’œuvre d’un personnage sympathique et talentueux.

Résumé : "N'attendez pas qu'il soit mort pour lire Régis Jauffret". Cette exhortation légendait un portrait pleine page de l'écrivain Régis Jauffret qui, en 1985, dans "Libération", avait fait le choix de ce support publicitaire pour faire son entrée dans le monde des lettres. Ce souci affiché de l'écrivain pour sa propre image ainsi que sa revendication d'une littérature "sans image" seront les leitmotive récurrents du film de Dominique Brard. Deux personnages donc, un homme, Régis Jauffret, et une femme, Amandine Pudlovska, comédienne. Des bruits de pas les ont déjà précédés à l'image. Ils marcheront tout au long du film, sur une scène de théâtre dans le noir, dans les rues de la ville la nuit, sorte de ballet déambulatoire ponctué de nombreuses lectures alternant avec les poses silencieuses des séances de photographie. Certaines des questions posées par la réalisatrice, et qui sous-tendent la structure du film, feront l'objet de l'entretien avec Régis Jauffret, réalisé à Paris le 23 janvier 2005. L'écrivain s'attardera tout particulièrement sur son roman "Clémence Picot" paru en 1999 aux Éditions Verticales, roman auquel il attribue son "passage dans l'âge adulte de l'écriture".

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