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Résumé : L'auteure propose une réflexion philosophique sur le concept d'oeuvre musicale tout en s'interrogeant sur l'existence du répertoire en musique, notion omniprésente dans les discours des musiciens depuis la seconde moitié du XVIIIe siècle, mais ignoré des philosophes et des esthéticiens. L'intérêt est de découvrir comment le répertoire modifie la perception et la conception de la musique.

Résumé : Les auteurs interrogent les musiques du passé (pharaonique, arabe ou encore hindoue), considérées comme originelles, selon quatre angles complémentaires : les discours scientifiques qu'elles ont suscités quant à leur origine supposée, les tentatives de classification dont elles ont fait l'objet, les matériaux sonores et les supports utilisés pour les préserver, les archiver et les transmettre. ©Electre 2023

Résumé : Le premier dossier est consacré aux instruments de musique antiques, et plus largement aux objets et artefacts sonores. Sont analysés leurs mécanismes, leurs représentations iconographiques et littéraires ainsi que leurs usages et valeurs symboliques. Le second dossier vise à appréhender les modes de construction du familial et du parental tels qu'ils ressortent des témoignages antiques. ©Electre 2021

Résumé : La musique fait partie du quotidien des gens du Moyen Age. Le son participe à chaque activité de la vie, il informe, il aide à la chasse, il sert à soigner ou conjurer le sort, il permet de se divertir. Depuis des années, les archéologues rencontrent dans leurs fouilles les vestiges des instruments qu'ils savent reconnaître. Ces témoignages montrent la grande variété d'instruments alors en usage.

Résumé : Discours sur la musicologie, étudiée sous divers angles, acoustique, archéologie, économie, sociologie, histoire, littérature. Par le pianiste et compositeur Karol Beffa, titulaire de la chaire de Création artistique du Collège de France pour l'année 2012-2013

Résumé : L'écoute est l'activité la plus discrète qui soit ; quelqu'un qui écoute, ça ne s'entend pas. Pourtant P. Szendy, musicologue, rêve d'une archéologie des écoutes musicales, une histoire des oreilles de mélomanes, et tente ici d'en esquisser une, afin de tout savoir sur ces oreilles que l'on porte et que l'on prête.

Résumé : Plus de deux siècles d'art musical (1700-1950) au faubourg Saint-Germain sont ici ressuscités. Le "noble faubourg" comme on l'appelait encore au XIXe siècle a vu s'épanouir toutes les sortes de musiques de chambre, voire symphonique et d'opéra dans les hôtels particuliers qui le parsèment. Musique d'apparat, officielle aux Invalides, populaire au Champ de Mars, religieuse dans les églises...

Résumé : Catalogue présentant l'univers de l'artiste, fait de variations picturales et de subtiles évocations musicales, voyages mentaux et poétiques. Son oeuvre est multiple pour les techniques, les motifs ou encore les formats et s'entremêle à sa vie personnelle. ©Electre 2020

Résumé : Ce livre invite à partager l'enchantement du public du XVIIIe et du XIXe siècle, qui revisitait un fragment du monde antique préservé par la nature et non-contaminé par dix-sept siècles de civilisation (4e de couverture). La ville antique de Pompéi n’aurait été qu’un centre provincial de l’Empire romain comme tant d’autres, si une éruption du Vésuve, survenue en l’an 79 après J.-C., ne l’avait pas entièrement détruite, et aussitôt préservée, en la recouvrant d’une épaisse couche de cendres et de matières volcaniques solidifiées. Cette protection conserva les vestiges de l’antique Pompéi au cours d’environ mille sept cents ans. En 1748, les équipes d’ingénieurs militaires qui effectuaient pour le roi de Naples des fouilles archéologiques dans la région vésuvienne, faisaient les premières découvertes sur le site. 1748 devint alors celle du début de la nouvelle vie de la cité romaine qui habita pendant plus de deux cents ans, et habite encore l’imaginaire européen.Curieusement, le temps des premières découvertes à Pompéi coïncida avec celui d’une recrudescence de l’activité volcanique du Vésuve, qui connut dans la seconde moitié du XVIIIe siècle de fréquentes éruptions. Les yeux de l’Europe toute entière se tournèrent alors vers Naples et vers la Campanie.Au XVIIIe siècle, la fortune naissante de Pompéi ne fut pas orientée vers la ville elle-même, mais se focalisa essentiellement sur quelques antiques extraites de son sous-sol. Ce fut alors que firent leur apparition dans l’art occidental les variations sur le thème des satyres et des vols de centaures, faunes et bacchantes amoureux, comme les interprétations les plus variées du thème des danseuses dites d’Herculanum et de celui de l’Amour prisonnier. Dans la décoration intérieure, le traitement des parois à la pompéienne s’imposa, et dans les arts décoratifs l’adoption d’un mobilier et d’objets imitant ceux qui ornaient les demeures des anciens Pompéiens, tels les tripodes, les candélabres, les lampes, les cassolettes, les vases, les amphores, devint une mode incontournable.Au début du XIXe siècle, notamment au cours des règnes de deux souverains français, Joseph Bonaparte et Joachim Murat, une programmation globale des fouilles de Pompéi put être formulée et le périmètre des murailles de la ville antique fut tracé avec précision. L’attention se déplaça alors vers l’architecture et l’urbanisme de la cité. L’ouvrage d’un architecte français protégé de la reine Caroline Murat synthétise le tournant vécu par l’archéologie pompéienne : « Les Ruines de Pompéi » de François Mazois, qui fut publié en plusieurs volumes entre 1813 et 1838. Le recueil permettait en effet de circuler dans les rues de Pompéi, de pénétrer dans les habitations et dans les thermes, de visiter ses temples et de participer aux jeux et aux compétitions dans ses théâtres. Le quotidien des Anciens redevenait familier aux Modernes du XIXe siècle et en pleine éclosion du Romantisme, enflamma leur imagination. La ville antique devint alors le cadre d’une vaste production littéraire, théâtrale, musicale, peinte, sculptée, dessinée et gravée, faisant revivre les histoires du passé et privilégiant généralement « les derniers jours de Pompéi » au cours desquels l’éruption meurtrière avait forgé le mythe de la cité.La seconde vie de Pompéi véhiculée par les tableaux-phares d’une époque, par des pochades et des tableautins ; s’exprima par la plume d’écrivains d’élite, comme par celle de romanciers populaires, dont les œuvres furent couronnées d’un succès éphémère. Elle toucha ainsi un public extrêmement large, ce même public qui nourrit aujourd’hui, inlassablement, les flux de visiteurs qui se rendent sur le site, pèlerins des temps modernes partis de tous les pays du monde pour le voir de leurs propres yeux. (source : éditeur)

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