Dans un entretien didactique visant à former le goût du lecteur à travers un florilège critique des erreurs du discours, le Père Bouhours affirme que la vérité doit constituer la qualité première de la pensée : elle devient ainsi paradoxalement le souci principal de tout jugement de goût, et conduit l’auteur à bannir du discours toutes les figures qui, loin de le perfectionner, le dénaturent.