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Résumé : Réalisateur du magnifique film "l'Empreinte", Guillaume Bordier, deux ans auparavant, en avait réalisé un précédent : "J'ai pas tué Saddam!". Dans ce film, l'action se passe déjà en Afghanistan, dans une auberge traditionnelle aux confins d'un village isolé du Hazaradjat, à la croisée de plusieurs pistes ou routes cachées sous la neige abondante de l'hiver.Dans une pièce commune, où ils dorment à même le sol recouvert d'un tapis, les voyageurs : commerçants, soldats, paysans ou trafiquants..font étape. Et en attendant de reprendre leur chemin, échangent les nouvelles des lieux d'où ils sont partis ou qu'ils ont traversés. L'attente d'un véhicule-relais ou d'un temps plus clément peut durer plusieurs jours, aussi la vie est-elle rythmée par les prières, les jeux de société, les conversations qui dénotent la rudesse des moeurs masculines locales, et bien sûr, le sommeil..Discret, le réalisateur filme le temps qui passe dans la pièce avec ces hommes qui parfois se figent pour un portrait, mais le plus souvent, oublient la caméra. Il filme aussi le cadre grandiose des montagnes enneigées qui entourent le groupe de maisons du hameau, et les maisons blotties les unes contre les autres, comme formant un ancien caravansérail.L'image du film est superbe. Mais l'hiver, les journées en Afghanistan sont courtes, si bien que les scènes nocturnes, dans le noir complet, ou avec l'éclairage de lampes à huile récalcitrantes, sollicitent l'écoute attentive du spectateur, de toute façon déjà conquis par ce film donnant, comme "l'Empreinte", une approche rare de la vie quotidienne afghane, à trois jours de voyage, en hiver, de Kaboul.

Résumé : Le réalisateur suit la campagne pleine de rebondissements des élections municipales de 2008 du village de Fleury d'Aude, en terre éminemment occitane du Languedoc.

Résumé : Sixième film de la série "Marseille contre Marseille", il suit, en 2001, dans leur campagne électorale, deux femmes, toutes deux militantes socialistes, responsables politiques locales, filles d'immigrés maghrébins, nées dans les quartiers Nord de la ville, Samia Ghali( devenue députée en 2007) et Nadia Brya.

Résumé : L'Atelier, un espace situé au coeur de la Bibliothèque publique d'information (Centre Pompidou), où se déroulent quotidiennement depuis plusieurs années des conversations en français langue étrangère (FLE).

Résumé : Dans cette "lettre cinématographique" à Léopold Sédar Senghor, tournée en 1998, Samba Félix N'Diaye, plutôt que de dresser le portrait du poète, de l'académicien, de l'homme politique devenu le premier chef d'Etat du Sénégal indépendant, retourne sur les origines africaines traditionnelles du grand homme, décédé en 2001, considéré comme l'un des pères de l'Afrique contemporaine.

Résumé : Après "First contact" (1982) et "Joe Leahy's neighbours" (1988), les réalisateurs , en 1991, retrouvent en Nouvelle-Guinée-Papouasie Joe Leahy, fils d'un Australien et d'une Ganiga. Il est alors un entrepreneur agricole prospère qui a su concilier ses deux cultures. Souhaitant agrandir son exploitation, il s'associe avec le chef de tribu ganiga Popina Mai, qui est aussi son père adoptif , en observant les coutumes traditionnelles.Mais les fluctuations des cours du café, les impératifs de la récolte et la férocité des guerres tribales mènent au drame.

Résumé : "Du fait d’une agriculture de subsistance aux ressources insuffisantes, beaucoup de Népalais sont contraints, pour subvenir à leurs besoins, de trouver un complément financier et de quitter temporairement leurs villages, le plus souvent pour la région touristique de l’Everest. Cette mobilité temporaire est inhérente au fonctionnement des systèmes ruraux népalais.Le documentaire s’attache au destin des habitants de la région du Solukhumbu et nous les montre dans des scènes de vie quotidienne. Cette région comprend au nord, le Khumbu, territoire où vit l’ethnie Sherpa et à l’Est, le Mahakulung, où réside l’ethnie Raï-Kulung. [...] Un membre de chaque famille Raï-Kulung, adultes comme enfants, doit chaque année quitter la vallée et migrer vers le Khumbu, une des régions les plus touristiques du Népal, territoire de l’ethnie Sherpa, pour y chercher un travail nécessaire à leur survie, en hôtellerie ou comme porteurs."Interventions en son direct en kulung, en tibétain et en anglais avec sous-titres en Français. (catalogue Cnrs Images)

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