À partir d’une lettre écrite par Saint-Cyran en septembre 1642, après la guérison de la mère Agnès, atteinte d’hydropisie, on pourra voir que même dans le cadre d’une ascèse très exigeante, le corps n’est pas nécessairement voué au mépris ou à la suspicion, mais qu’il participe au contraire au dynamisme de la grâce.