Bonne administration et Union européenne
Emilie Chevallier
bruylant
Remerciements
11
Sommaire
13
Liste des principales abréviations
15
Préface
19
Introduction générale
23
I. L'enrichissement de la conception de l'administration au sein de l'Union européenne24
A. La notion d'administration dans l'ordre juridique de l'Union24
1. L'administration européenne25
2. Les administrations nationales26
B. Le développement de l'administration composée30
1. L'association renforcée des administrations dans l'exécution du droit de l'Union30
2. L'émergence de l'espace administratif européen34
II. L'identification de la notion de bonne administration39
A. Le flou entourant la notion de bonne administration39
B. La bonne administration, objet d'étude43
III. Bonne administration et espace administratif européen, émergence d'une problématique44
Partie I.
Le principe de bonne administration construit par la pluralité des sources de l'espace administratif européen49
Titre 1.
Un principe commun aux sources matérielles du droit de l'union55
Chapitre 1. Les origines axiologiques de la bonne administration57
Section 1. L'approfondissement de l'État de droit58
I. La théorisation de l'État de droit comme fondement de la soumission de l'administration au droit59
A. La préconisation concomitante de la soumission de l'administration au droit59
1. Une conception multiple de l'État de droit
59
2. L'importance de la soumission de l'administration au droit
61
B. L'approfondissement de la dimension procédurale de l'État de droit63
1. La reconnaissance des droits administratifs procéduraux
63
2. Les fonctions diversifiées des droits administratifs procéduraux
64
II. L'homogénéisation des traductions de la conception procédurale de l'État de droit66
A. La diffusion convergente de l'État de droit66
1. La diffusion des exigences de l'État de droit par la construction européenne
67
2. L'approfondissement de l'État de droit par les organisations internationales
71
a. La diffusion de l'État de droit par les organisations internationales
71
b. L'approfondissement de l'État de droit dans le cadre du fonctionnement interne des organisations internationales
74
B. La concrétisation similaire de la conception de l'État de droit76
1. L'organisation du contrôle juridictionnel de l'administration, symbolique de l'État de droit
77
a. L'aménagement progressif du contrôle juridictionnel de l'administration
77
b. Le développement du contrôle juridictionnel de l'administration internationale
79
2. La reconnaissance des droits administratifs procéduraux
80
a. La promotion des droits administratifs procéduraux dans les ordres juridiques nationaux
80
b. L'assujettissement de l'administration internationale au respect des droits administratifs procéduraux
83
Section 2. La promotion des principes managériaux85
I. Le renouvellement de l'impératif d'efficacité85
A. L'efficacité, un impératif généralisé de l'action administrative85
1. L'administration, acteur essentiel de la croissance économique
85
a. L'évolution du rôle de l'administration nationale
85
b. La conception internationale du rôle de l'administration
90
2. L'efficacité, source de légitimation de l'administration
91
B. La remise en cause du modèle bureaucratique traditionnel94
1. Un attachement ancien et commun au modèle bureaucratique traditionnel
94
2. Le renouvellement des théories de l'administration
97
II. L'émergence d'un contexte favorable à la promotion de l'efficacité100
A. La promotion de la performance de l'action administrative100
1. L'impératif d'utilisation optimale des ressources
100
2. L'évaluation de l'administration
102
a. L'instauration de mécanismes d'évaluation
102
b. L'approfondissement de l'exigence de qualité
104
B. L'impératif de responsabilisation des acteurs de l'administration106
1. L'évolution de la figure de l'administrateur en manageur
106
2. Des relations renouvelées avec le public
107
Conclusion109
Chapitre 2. Les manifestations juridiques de la bonne administration111
Section 1. L'absence de consécration expresse du principe de bonne administration dans l'ordre international112
I. La conceptualisation exclusive de la bonne gouvernance dans l'ordre international112
A. Une notion façonnée par les organisations internationales112
1. Le rôle précurseur des organisations internationales financières
112
2. Le développement de la bonne gouvernance par d'autres organisations internationales
114
B. La définition de préceptes applicables au secteur public sous l'égide de la bonne gouvernance115
1. Les exigences applicables à la fonction publique
115
2. La promotion de la prise en compte de l'individu dans le fonctionnement interne de l'administration
116
II. Une promotion implicite de la bonne administration118
A. Le développement des principes destinés à assurer la qualité des moyens de l'administration118
B. La préservation des moyens à disposition de l'administration121
1. L'impératif d'une gestion intègre
121
a. La lutte interne contre la corruption
121
b. L'incitation des États
122
2. L'ouverture de l'administration
124
a. L'accessibilité embryonnaire de l'administration internationale
124
b. L'approfondissement des exigences à l'égard des États
125
Section 2. La formalisation incomplète de la bonne administration au sein du Conseil de l'Europe127
I. Le caractère latent de la bonne administration dans la Convention européenne des droits de l'homme127
A. L'absence de consécration expresse du principe de bonne administration127
B. L'encadrement procédural de l'administration fondé sur les garanties du droit au procès équitable128
1. L'applicabilité des garanties du procès équitable à l'égard de l'administration
129
2. L'application spécifique des garanties des exigences de l'article 6 CEDH à l'égard de l'administration
131
II. Les germes de la formalisation de la bonne administration dans les actes du Conseil de l'Europe133
A. La promotion implicite de la bonne administration134
1. La préconisation d'un encadrement procédural croissant de l'administration
134
2. L'émergence de la bonne administration en tant qu'intérêt supérieur
137
B. La tentative de formalisation de la bonne administration par le Conseil de l'Europe : la proposition d'un Code de bonne administration138
1. Le mandant délivré : la définition des principes de bonne administration
138
2. L'élaboration d'un Code de Bonne administration
139
a. L'identification des principes de bonne administration
140
b. L'option discutable d'un Code de bonne administration
141
Section 3. La prise en compte croissante de l'exigence de bonne administration dans le droit des États membres145
I. Le traitement disparate de la bonne administration par le droit des États membres145
A. La consécration constitutionnelle exceptionnelle de la bonne administration par l'ordre juridique finlandais145
B. La reconnaissance jurisprudentielle des « principes de bonne administration »147
1. Le recours aux principes de bonne administration dans les jurisprudences belge et néerlandaise
148
2. Le recours au principe général de bonne administration dans la jurisprudence grecque
150
C. La prise en compte incidente de la bonne administration dans d'autres États membres151
II. La généralisation de l'usage de la bonne administration par la diffusion de l'institution du Médiateur155
A. La diffusion de l'institution du Médiateur au sein des États membres155
B. L'exigence de bonne administration, référence dans le contrôle du Médiateur157
1. La confirmation de la place essentielle de la bonne administration au sein du mandat du Médiateur
158
2. La précision convergente des contours de la bonne administration
159
Conclusion161
Conclusion Titre I163
Titre 2.
Un principe intégré dans les sources formelles du droit de l'Union165
Chapitre 1. L'émergence du principe167
Section 1. La compétence limitée de l'Union européenne en matière de bonne administration168
I. La compétence consolidée de l'Union en matière d'organisation interne169
A. La portée limitée de la compétence d'auto-organisation169
B. L'apport de l'article 298 TFUE170
II. La compétence de l'Union à l'égard des États membres172
A. Le principe d'attribution, limite à l'intervention de l'Union européenne172
B. L'absence de modification de répartition des compétences par le Traité relatif au fonctionnement de l'Union173
1. L'entrée vigueur de la Charte des droits fondamentaux dépourvue de conséquence sur l'étendue des compétences de l'Union
174
2. La portée limitée du Titre XXIV relatif à la coopération administrative
175
C. L'identification possible d'une base légale appropriée176
1. La recherche vaine d'une compétence subsidiaire
176
2. L'identification d'une compétence implicite
178
Section 2. La diffusion de la bonne administration dans le champ du fonctionnement de l'administration180
I. Le principe de bonne administration dans les travaux du Médiateur de l'Union180
A. L'insertion indirecte de la bonne administration dans le mandat du Médiateur de l'Union européenne180
B. Le Médiateur européen, artisan de la bonne administration183
1. L'identification des principes de bonne administration dans les travaux du Médiateur
183
a. La protection des individus
184
b. Le fonctionnement de l'administration
187
2. L'identification des principes de bonne administration par le Code de bonne conduite administrative
188
II. La promotion de la bonne administration dans le cadre de la réforme des institutions de l'Union190
A. L'apport limité du Livre blanc relatif à la gouvernance européenne aux développements de la bonne administration191
1. La proximité confirmée entre bonne gouvernance et bonne administration
191
2. La promotion incidente de la bonne administration par le Livre blanc relatif à la gouvernance européenne
193
B. La promotion de la bonne administration dans le cadre de la réforme de la Commission194
1. Le développement de la bonne administration dans le fonctionnement de l'administration
195
2. L'introduction des standards de bonne administration dans la gestion des ressources humaines
198
a. L'assurance de la compétence du personnel
198
b. L'assurance de l'intégrité du personnel
201
Section 3. L'usage systématisé de la bonne administration par le juge de l'Union204
I. Le développement empirique de la bonne administration204
A. La spécificité de la position du juge de l'Union dans l'émergence de la bonne administration204
1. La confirmation du rôle du juge face aux lacunes du droit de l'Union
205
2. Le rôle privilégié du juge de l'Union à l'égard du standard de bonne administration
206
B. Le rôle partagé des « juges » de l'Union dans la diffusion de la bonne administration207
1. Le rôle précurseur de la Cour de justice
207
a. L'apport essentiel de la Cour de justice
208
b. La contribution riche des avocats généraux
211
2. L'apport décisif du Tribunal
213
3. L'apport sectoriel du Tribunal de la fonction publique de l'Union européenne
215
II. La systématisation de l'emploi de la bonne administration dans la jurisprudence de l'Union216
A. L'expression du sentiment de justice216
B. Un élément de dialogue construit par le juge218
C. Un élément du syllogisme judiciaire220
Conclusion221
Chapitre 2. La définition du principe de bonne administration223
Section 1. La richesse du contenu de la bonne administration223
I. Les droits administratifs procéduraux224
A. L'inspiration de l'article 6 CEDH225
1. Un principe général
225
a. Un traitement équitable et impartial
225
b. L'exigence du délai raisonnable
228
2. Les principes énumérés
229
a. Le droit d'être entendu
230
b. Le droit d'accès au dossier
231
c. La possibilité de s'exprimer dans une des langues de l'Union
233
d. La formulation spécifique du droit au recours
235
e. L'obligation de motivation
236
3. L'évolution des principes de bonne administration
238
B. Le dépassement de l'article 6 CEDH240
1. La remise en cause de l'applicabilité de l'article 6 CEDH
240
2. L'organisation autonome de la protection des individus
243
II. Les principes d'efficacité247
A. Des principes émergents248
1. Le principe de bonne administration du personnel
248
2. Le principe de bonne gestion financière
249
B. La délimitation de la bonne administration250
1. Le principe de sécurité juridique
251
2. Le principe de précaution
252
3. L'exigence de transparence
253
Section 2. L'expression d'un équilibre254
I. Une conciliation en faveur de l'efficacité255
A. L'efficacité du fonctionnement de l'administration255
B. L'efficacité de la procédure individuelle257
II. Les droits administratifs procéduraux, source d'efficacité de l'administration259
A. Les droits administratifs procéduraux, condition de l'efficacité de l'administration259
B. L'efficacité, fondement de l'approfondissement des droits administratifs procéduraux261
Conclusion262
Chapitre 3. La nature du principe de bonne administration265
Section 1. Un principe protecteur266
I. Un principe général de droit de bonne administration267
A. Une reconnaissance tardive267
1. Une reconnaissance contestable
267
2. Une qualification systématisée
270
B. Le rattachement du principe général de bonne administration aux sources classiques272
1. Un principe issu des traditions constitutionnelles des États membres
272
2. Un principe rattaché à l'État de droit
274
II. La qualification de droit subjectif remise en cause276
A. Les conséquences de l'introduction du droit à une bonne administration au sein de la Charte des droits fondamentaux277
1. La reconnaissance du caractère fondamental du droit à une bonne administration
277
a. Le critère formel
278
b. Le critère matériel
280
2. Une prérogative individuelle
281
B. Le rejet de la qualification de droit subjectif284
1. L'existence indispensable d'une voie de recours
284
2. Une organisation insuffisante des recours
287
Section 2. Le principe de bonne administration, synthèse de principes289
I. Un principe matriciel289
A. Un principe pluriel290
B. L'approfondissement d'un principe singulier291
1. Un principe logique
291
2. Un principe normatif
293
II. L'émergence de la catégorie des principes de bonne administration295
A. La cohérence progressive du contenu295
1. La diversité du contenu
295
2. La traduction d'une idée commune
296
B. L'apport de la catégorie des principes de bonne administration297
1. L'articulation des principes de bonne administration
298
2. La subjectivisation de l'ordre juridique de l'Union
299
Conclusion301
Conclusion Titre II303
Conclusion Partie I305
Partie II.
L'espace administratif européen approfondi par le principe de bonne administration307
Titre 1.
Le principe de bonne administration, un instrument de convergence311
Chapitre 1. L'encadrement de l'administration européenne313
Section 1. Une opposabilité extensive du principe de bonne administration315
I. Un champ d'application organique large315
A. La détermination classique du champ d'application organique315
1. Les institutions de l'Union
315
2. Les organes et organismes de l'Union
316
a. Les organes de l'Union
317
b. Les organismes de l'Union
317
B. La spécificité de l'opposabilité de la bonne administration à la Cour de justice321
1. La distinction nécessaire entre fonction administrative et fonction juridictionnelle
321
a. Une distinction approfondie entre fonction contentieuse de l'administration et fonction juridictionnelle
321
b. La distinction entre bonne administration et bonne administration de la justice
324
2. L'enrichissement de la fonction administrative de l'organe juridictionnel
328
II. L'invocation de la bonne administration au sein des voies de recours directs330
A. L'invocabilité du principe de bonne administration dans le cadre du contrôle de la légalité des actes de l'administration européenne331
1. Le recours en annulation
331
a. Les fondements
331
b. Des limites classiques
333
2. L'invocation de la bonne administration dans le cadre du recours en carence
335
B. L'invocation du principe de bonne administration dans le cadre du recours en indemnité336
1. L'engagement limité de la responsabilité du fait de l'activité normative par l'invocation du principe de bonne administration
336
2. Les hypothèses restreintes de l'engagement de la responsabilité pour faute de service
338
Section 2. La mise en oeuvre flexible du principe de bonne administration339
I. L'appréciation de la bonne administration par les interprètes du standard340
A. Une interprétation maîtrisée par le juge340
1. L'étendue du pouvoir discrétionnaire du juge
340
2. L'appréciation de la bonne administration
343
B. La contribution de l'administration européenne dans l'interprétation du standard de bonne administration344
II. La sanction du respect du principe de bonne administration347
A. La sanction nuancée d'une exigence procédurale347
1. L'exigence de la violation d'une formalité substantielle
348
2. L'approfondissement de l'encadrement du pouvoir discrétionnaire
349
B. L'encadrement progressif des actes internes de l'administration352
Conclusion354
Chapitre 2. L'encadrement de l'administration nationale357
Section 1. L'aménagement de l'encadrement de l'autonomie procédurale par le principe de bonne administration359
I. Une obligation de coopération effective des administrations nationales359
A. L'énoncé d'une obligation de coopération à la charge des États membres359
B. Une coopération nécessaire à la mise en oeuvre uniforme du droit de l'Union362
1. La mise à disposition nécessaire des procédures et organes nationaux
362
2. La collaboration étroite des administrations européenne et nationales
364
II. L'exigence de mise en oeuvre effective du droit de l'Union366
A. Les limites jurisprudentielles à l'autonomie procédurale367
1. Des limites classiques
367
2. Un encadrement limité de l'autonomie procédurale
369
B. Le rôle central du juge national370
1. Un contrôle national
370
2. Une appréciation pragmatique
372
Section 2. Le principe de bonne administration, fondement croissant de l'encadrement des administrations nationales375
I. L'effacement ponctuel de l'autonomie procédurale des administrations nationales375
A. Une application fondée sur la qualité de principe général du droit de l'Union376
1. La remise en cause de l'approche retenue par la Charte
376
2. La portée confirmée du principe général de bonne administration
377
B. Le principe de bonne administration, source d'un interventionnisme croissant de l'Union380
II. L'encadrement des administrations nationales inspiré du principe de bonne administration de l'Union382
A. Une mise en oeuvre spontanée facilitée par une familiarisation progressive383
B. Une prise en compte croissante par les ordres juridiques nationaux386
Conclusion388
Conclusion Titre I391
Titre 2.
Le principe de bonne administration, un instrument de régulation393
Chapitre 1. La consolidation de la place de l'individu395
Section 1. La bonne administration et la promotion de la citoyenneté administrative395
I. Le lien expresse entre citoyenneté administrative et bonne administration396
A. Le développement novateur de la citoyenneté dans le champ administratif396
B. La définition extensive des titulaires de la citoyenneté administrative398
II. La portée limitée de la construction de la citoyenneté administrative sur le fondement de la bonne administration401
A. L'évolution de la relation administrative401
B. L'apport de la bonne administration au processus de démocratisation de l'administration404
Section 2. Le développement des prérogatives de l'individu sur des fondements distincts de la bonne administration408
I. L'évolution des droits des individus sur le fondement de la transparence408
A. La reconnaissance du droit d'accès aux documents409
B. La mise en oeuvre du droit d'accès aux documents411
II. La promotion des droits administratifs procéduraux sur le fondement de la Convention d'Aarhus414
A. La promotion de l'accès à l'information environnementale414
B. L'organisation de la participation environnementale418
C. L'accès à la justice en matière d'environnement419
Conclusion422
Chapitre 2. La promotion de la coopération administrative425
Section 1. L'enrichissement des modalités de coopération administrative427
I. La consolidation de la loyauté administrative428
A. La construction de la confiance réciproque des autorités administratives428
1. La confirmation expresse de l'attribution de la compétence d'exécution aux États membres
428
a. L'apport de l'article 291 TFUE
428
b. La prise en compte du principe de subsidiarité
430
2. La préservation de la compétence étatique
431
B. Le renforcement progressif du cadre de l'exécution du droit de l'Union433
1. La consolidation de la mission de surveillance de la Commission européenne
433
2. La consolidation du cadre procédural imposé aux administrations nationales
435
a. Des obligations de dialogue
435
b. La concrétisation de l'obligation d'information
437
II. L'approfondissement de la coopération entre administrations439
A. Le développement des modalités de coopération permanente440
1. Les agences, instrument de coopération administrative
440
a. La recherche de l'efficacité de l'exécution administrative
440
b. L'encadrement du recours aux agences
443
2. Le développement des réseaux d'administrations
444
a. Des hypothèses diversifiées
445
b. La mise en oeuvre du réseau
448
B. La bonne administration, objet de collaboration des autorités administratives450
1. La multiplication des contacts entres les fonctions publiques
450
2. L'amélioration du fonctionnement de l'administration par les échanges des meilleures pratiques
452
a. L'inspiration des modalités renouvelées de gouvernance
452
b. Une démarche novatrice dans le champ administratif
453
Section 2. L'adaptation insuffisante des mécanismes de contrôle455
I. L'insertion de la bonne administration dans la diversité des mécanismes de redevabilité456
A. La bonne administration, norme de référence explicite du contrôle de l'administration de l'Union456
1. Le développement du contrôle du Parlement européen
457
2. L'approfondissement du contrôle des agences
458
B. La prise en compte d'exigences spécifiques de bonne administration460
1. L'approfondissement progressif du cadre européen de lutte contre la fraude et la corruption
461
2. L'organisation d'un contrôle composé
462
a. L'instauration de l'OLAF
462
b. L'intervention des autorités nationales
463
II. L'approfondissement nécessaire des mécanismes de redevabilité465
A. La conciliation des mécanismes de contrôle465
B. La coopération des autorités de contrôle dotées d'une compétence similaire467
1. La coopération des juges
467
2. La collaboration des médiateurs
470
Conclusion471
Conclusion du Titre II475
Conclusion Partie II477
Conclusion générale
481
Bibliographie
485
Index
521